Les lions de Grande-Bretagne ont regagné leur île. C’était la soupe à la grimace lorsqu’ils sont descendus de l’avion. Mais c’était encore pire lorsque les œufs ont commencé à voler tout autour de la délégation. Les vedettes Stevie G. et Frank Chapard étaient particulièrement visés.
L’affiche était belle entre ces deux grandes nations de football sans tête…
Un 8ème de finale entaché par les décisions approximatives du juge de touche Monsieur Ulrich Espindoursain, uruguayen de grand-parents allemands, arbitre dépourvu de globe oculaire n’a pu voir le ballon derrière la ligne. Une énorme erreur qui change tout pour les Lions britanniques qui n’arriveront plus à se remettre de cette terrible injustice. En même temps ils n’avaient pas vraiment le niveau…
Le but de Chapard n’était pas volé
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Entendu lors de l’entrainement des Lions :
« Ca va les gars ? Pas trop fatigués ? »
« Moi, ça me tire un peu derrière la cuisse droite, coach »
« Et ça vous dérange pas que vos collègues courent pendant ce temps ? »
Ce n’est pas facile d’être l’entraineur de jeunes et richissimes footballeurs quand ils ont autant de talent que de mauvaise foi.
On se moque
Après le match nul, vraiment nul, face à son rival sportif, le coach de la sélection aux trois lions étêtés s’est même permis de chambrer son adversaire en lui envoyant un tendre baiser (à défaut de mettre un but). Il va sans dire qu’il ne l’a pas fait du tout pour lui rappeler qu’il lui avait carotté sa WAGS lors de la saison précédente.
Contrairement au conte pour enfants, ce baiser a eu pour effet de nous endormir « One, two, three… On s’est endormi »