L’Espagne n’abordait pas ce match dans les meilleures conditions après leur défaite initiale contre les petits suisses. Il leur fallait absolument une victoire sous peine de voir le champion d’Europe en titre disparaitre de la coupe du monde.
Et ce match fut crispant pour les espagnols pendant un long moment. Les joueurs de la Roja cherchaient à attaquer tous azimuts mais se heurtaient à une opposition bien en place. Dès lors, les joueurs commencèrent à se chercher des excuses, s’attaquant au staff et lui reprochant notamment un lavage de maillot mal réalisé. Les joueurs se réunissaient dans le rond central, laissant leur gardien désemparé face à une attaque hondurienne heureusement aphone. On semblait être parti pour une grève du jeu mais les espagnols se remirent en ordre de marche, attaquant de plus belle.
Malheureusement, le dispositif se révélait peu efficace et les joueurs commençaient à se crisper, priant notamment pour fuir ce manque de réussite qui les cantonnerait à des contrats publicitaires moindres.
Heureusement, la situation se débloqua sur un geste technique aussi sournois qu’efficace : une belle reprise du bras qui permit à l’Espagne de sortir vainqueur de ce match couperet.
Premier tour
Nos amis brésiliens affrontaient hier les éléphants aveugles. Malgré une domination toute nouvelle pour les artistes du ballon rond, le match a été terni par l’expulsion de l’ancien ballon d’or, CacaBoudin.
Grâce à ses amis publicitaires, le joueur disposait d’un maillot d’une nouvelle génération permettant de faire défiler des informations en lieu et place du nom du joueur. Le joueur a pu ainsi « discuter » avec l’arbitre en quittant le terrain sans craindre une quelconque réponse de sa part.
Ah oui, sinon victoire finale des brésiliens 3-1.
Si le bilan est globalement positif pour cette coupe du monde, quelques points noirs restent à améliorer. On pense notamment à l’assassinat de joueurs sud-coréens au cours des matches du premier tour. D’aucuns commencent à penser à surveiller la glorieuse équipe de la flamboyante République Démocratique Populaire de Corée du Nord et notamment leur joueur N°17 qui pour le moment n’a joué aucune minute. Ces esprits chagrins notent que sa médaille d’argent aux derniers JO en tir à la carabine fait de lui un suspect tout indiqué.
Saleté de presse capitaliste !!!
On se moque
Après le match nul, vraiment nul, face à son rival sportif, le coach de la sélection aux trois lions étêtés s’est même permis de chambrer son adversaire en lui envoyant un tendre baiser (à défaut de mettre un but). Il va sans dire qu’il ne l’a pas fait du tout pour lui rappeler qu’il lui avait carotté sa WAGS lors de la saison précédente.
Contrairement au conte pour enfants, ce baiser a eu pour effet de nous endormir « One, two, three… On s’est endormi »