World Cup 2010 Without Head

La musique est un cri qui vient de l’intérieur. Certes mais ce n’est pas une raison pourtout envoyer à l’extérieur.  Les portugais malheureusement pas ensablés ont du subir les cris d’orfraies de Christian Ronald, persuadé qu’il peut voler et qui le chante au monde entier.

Je ne démissionnerai pas !

JP L’Escalope, président de la FFFST s’accroche au buffet. « Démissionné ? J’ai pas encore pris le dessert » contrairement au sélectionneur qui est sur la digestion déclarant  « J’ai aimé cette équipe, c’était une bonne idée de mettre des militaires à la place des titulaires, ils ont une remarquable force de frappe… Les militaires étaient en bonne condition physique et ont respecté la tactique, eux ».

Les premières images du match en provenance de LaFontaine nous arrivent. On voit que les nouveaux joueurs de l’équipe de France ont été bien préparé.

Peut-être la première victoire du groupe Bleu ?

Entendu lors de l’entrainement des Lions :

« Ca va les gars ? Pas trop fatigués ? »
« Moi, ça me tire un peu derrière la cuisse droite, coach »
« Et ça vous dérange pas que vos collègues courent pendant ce temps ? »

Ce n’est pas facile d’être l’entraineur de jeunes et richissimes footballeurs quand ils ont autant de talent que de mauvaise foi.

L’Espagne n’abordait pas ce match dans les meilleures conditions après leur défaite initiale contre les petits suisses. Il leur fallait absolument une victoire sous peine de voir le champion d’Europe en titre disparaitre de la coupe du monde.
Et ce match fut crispant pour les espagnols pendant un long moment. Les joueurs de la Roja cherchaient à attaquer tous azimuts mais se heurtaient à une opposition bien en place. Dès lors, les joueurs commencèrent à se chercher des excuses, s’attaquant au staff et lui reprochant notamment un lavage de maillot mal réalisé. Les joueurs se réunissaient dans le rond central, laissant leur gardien désemparé face à une attaque hondurienne heureusement aphone. On semblait être parti pour une grève du jeu mais les espagnols se remirent en ordre de marche, attaquant de plus belle.
Malheureusement, le dispositif se révélait peu efficace et les joueurs commençaient à se crisper, priant notamment pour fuir ce manque de réussite qui les cantonnerait à des contrats publicitaires moindres.
Heureusement, la situation se débloqua sur un geste technique aussi sournois qu’efficace : une belle reprise du bras qui permit à l’Espagne de sortir vainqueur de ce match couperet.

Nico aime Francky et Francky vénère Thierry.
Ken aime tout le monde mais personne ne l’aime à part Hugo et Jérémy.
Robert aimerait bien faire travailler tout le monde mais Raymond ne le soutient plus.
Rosette aimerait bien mettre de l’ordre mais personne ne l’écoute surtout pas Ragnagna, la jeune et jolie responsable qui, elle, se verrait bien dans les bras du beau Ken.
Un beau bordel, ma foi…